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Image d'un bocal de sucre renversé avec un panneau stop.

Pourquoi est-il important de réduire notre consommation de sucre ?

Les recommandations de l'OMS

L'Organisation mondiale de la santé recommande qu'un adulte ayant une activité physique normale ne devrait pas consommer plus de six ou sept morceaux de sucre par jour, soit l'équivalent de 50 g. Dépasser cette quantité peut rapidement entraîner une consommation excessive de sucre.

Pour préserver votre bonne santé, il est conseillé de ne pas dépasser 10% de votre ration calorique quotidienne en matière de consommation de sucre.

Ainsi, si vous consommez environ 2000 calories par jour, la quantité de sucre à ne pas dépasser est de 50 g. Cette quantité sera encore moindre pour un enfant. Il est important de noter que les recommandations incluent les sucres ajoutés à nos aliments ainsi que ceux présents dans les produits industriels.

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Image d'un téléphone permettant d'évaluer les calories des aliments avant de les manger.

Sortez vos calculettes ! 

Le sucre est omniprésent dans notre quotidien.
D'ailleurs le saviez vous ? Plus de 70% des produits issus de l'industrie agroalimentaire contiennent du sucre ajouté.

Combien de morceaux de sucre dans nos aliments du quotidien ?

Image montrant les aliments du quotidien contenant 1 carreau de sucre.
Image montrant les aliments du quotidien contenant 2 carreaux de sucre.
Image montrant les aliments du quotidien contenant 2,5 carreaux de sucre.
Image montrant les aliments du quotidien contenant 3 carreaux de sucre.
Image montrant les aliments du quotidien contenant 5 carreaux de sucre.
Image montrant les aliments du quotidien contenant 6-7 carreaux de sucre.

Pourquoi devons nous réduire la dose ?

Selon des études, entre 20 % et 30 % des Français consomment plus de 100 g de sucre par jour, ce qui peut avoir des conséquences néfastes sur la santé. Bien que le sucre soit une source d'énergie importante pour l'organisme, une consommation excessive peut entraîner des problèmes de santé.

En France, près de 8 millions de personnes, soit 18 % des adultes, sont concernées par une alimentation trop riche en sucres. Les boissons sucrées en particulier sont souvent pointées du doigt, et peuvent causer des problèmes de santé tels que la maladie du soda, le surpoids, le diabète et l'acné.

Pourtant, le sucre n'est pas forcément un ennemi. Le glucose, par exemple, est une molécule qui fournit de l'énergie à nos cellules, y compris à nos neurones. On trouve du glucose dans de nombreux aliments, tels que les fruits, les céréales, les pommes de terre et les légumineuses. Mais il est également présent dans les sucres ajoutés, comme le sucre de table ou le sirop de glucose-fructose, que l'on trouve dans de nombreux produits industriels.

Image montrant plein de patisserie et gateaux très sucré.

Quel impact a le sucre sur mes dents ?

Les sucres libres et ajoutés augmentent le risque de caries !

En effet, les bactéries présentes dans la bouche transforment les sucres en acides qui déminéralisent l'émail et créent des trous. Les bactéries aiment tous les sucres, y compris le lactose et l'amidon prédigéré. Les aliments collants tels que le pain de mie et les pâtes molles peuvent laisser des fragments en bouche, ce qui peut contribuer à la progression des caries.

Heureusement, il existe des solution afin de limiter l'effet des bactéries sur nos dents. Évitez de grignoter entre les repas. En limitant les prises alimentaires à trois repas et une collation par jour, notre salive a le temps de neutraliser cette acidité. Et il est tout aussi important de brosser les dents après le repas.

Que devient le sucre que l'on mange ? 

Photo d'une femme qui mange un beignet et des pâtisseries sucrés.

Chaque fois que nous mangeons, notre corps doit digérer les glucides complexes en petits sucres qui sont ensuite absorbés dans l'intestin et transportés dans notre circulation sanguine. Cela entraîne une élévation du taux de glucose sanguin, ou hyperglycémie. Le glucose est alors utilisé par nos cellules pour produire de l'énergie.

Lorsque le taux de glucose dans le sang augmente, le pancréas sécrète de l'insuline, une hormone qui permet au glucose de pénétrer dans les cellules de notre corps. Une fois à l'intérieur des cellules, le glucose peut être utilisé pour produire de l'énergie ou stocké sous forme de glycogène dans les cellules du foie et des muscles.

Si notre corps a besoin de glucose entre les repas ou pendant un jeûne, le pancréas libère du glucagon, une hormone qui stimule la dégradation du glycogène stocké dans le foie. Le glycogène est alors transformé en glucose, qui est libéré dans la circulation sanguine pour être utilisé par les cellules de notre corps.

En somme, notre corps maintient un équilibre délicat entre l'apport et l'utilisation du glucose pour répondre aux besoins énergétiques de nos cellules.

Une consommation excessive de sucre nous engraisse !

Comme nous l'avons vu, la manière dont notre organisme assimile les sucres est essentielle. Le glucose est stocké dans les cellules du foie et des muscles sous forme de glycogène, mais dans les cellules adipeuses, il est converti en triglycérides, des molécules de graisse. Le lien entre les sucres et les graisses est clair : le glucose est impliqué dans le métabolisme des graisses.

Si nous consommons juste ce dont notre corps a besoin en termes d'énergie, alors tout fonctionne correctement. Le foie utilise ses stocks de glycogène pour
maintenir le taux de glucose sanguin en adéquation avec les besoins des
organes, lorsque nous sommes en dehors des repas - le foie est capable de stocker entre 70 et 100 g de sucre ! Les muscles, quant à eux, utilisent d'abord leur propre stock de glycogène, puis le glucose libéré par le foie. En cas d'activité physique prolongée ou de jeûne, les acides gras contenus dans les triglycérides sont mobilisés pour produire de l'énergie.

Cependant, si nous consommons plus d'énergie que nous n'en avons besoin, la machine se grippe. Le foie et les muscles ne peuvent stocker qu'une certaine quantité de sucre sous forme de glycogène, donc tout excès est transformé en graisse. Les adipocytes stockent cette graisse, grossissent et nous font prendre du poids. Or, le surpoids et l'obésité sont des facteurs de risque avérés pour le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires, le cancer de l'endomètre et le cancer du sein.

Par conséquent, une consommation excessive de sucres qui conduit à une prise de poids est un facteur de risque pour ces maladies.

La maladie du "foie gras", un risque élevé de nos jours !

Image d'une cannette de soda qui verse du sucre.

L'abus de sucre est l'un des principaux responsables de la maladie du foie gras, également connue sous le nom de « stéatohépatite non alcoolique ». En effet, lorsque nous consommons trop de sucre, le foie le transforme en triglycérides qui s'accumulent dans cet organe, le faisant grossir comme un oie ou un canard gavé de maïs. Malheureusement, de plus en plus de personnes, y compris des enfants, développent cette maladie en raison d'une alimentation trop riche en sucre.

Autrefois, le stockage de graisses dans le foie était un système de protection en cas de famine, mais aujourd'hui, cela peut conduire à de graves problèmes de santé. Dans 20% des cas, le foie gras évolue en hépatite et chez certaines personnes, une fibrose peut apparaître, évoluant parfois en cirrhose, voire en cancer du foie. Environ 200 000 personnes sont à haut risque de développer ces complications en raison de cette maladie.

Bien que cette maladie affecte souvent les personnes en surpoids ou obèse, ce n'est pas systématique : même les personnes ayant un excès de poids modéré peuvent développer une fibrose. Il n'existe actuellement aucun traitement efficace contre cette maladie. Seul un changement profond des habitudes alimentaires, combiné à une activité physique régulière, permet de réduire les effets de cette maladie.

La santé cardiovasculaire, aussi en péril

Une consommation excessive de sucres peut avoir des conséquences dramatiques sur la santé, même sans une prise de poids flagrante. En effet, cela peut entraîner un phénomène appelé « insulino résistance », qui se caractérise par une mauvaise réponse du foie, des muscles et du tissu adipeux sous-cutané à l'insuline. Résultat, le taux de glucose dans le sang est constamment un peu trop élevé, ce qui pousse le pancréas à produire de plus en plus d'insuline. Au bout de plusieurs années, cet organe s'épuise et ne peut plus produire suffisamment d'insuline, ce qui mène à un diabète de type 2.

Mais avant d'en arriver à cette extrémité, l'insulino résistance a déjà causé des dégâts. En effet, un taux de glucose sanguin constamment trop élevé altère le fonctionnement des cellules qui tapissent l'intérieur des vaisseaux sanguins, en particulier dans les artères. Cela affecte leur capacité à se dilater pour s'adapter au flux sanguin, accélérant ainsi leur vieillissement.

Lorsque l'insuline n'agit plus, le tissu adipeux commence à libérer des acides gras libres qui se déposent dans diverses parties du corps, notamment dans le foie. Cela aggrave une éventuelle stéatose hépatique et favorise son évolution en Nash. Cela pousse également le foie à libérer des lipides dans le sang, ce qui augmente le taux de « mauvais cholestérol » et accroît le risque de développer une maladie cardiovasculaire.

En somme, manger trop sucré peut avoir un coût très élevé pour la santé.

Changer de mode de vie pour vivre vieux et en bonne santé

Il est crucial de prendre des mesures pour prévenir l'insulino-résistance et ses conséquences potentiellement graves. Pour ce faire, il est recommandé de modifier son mode de vie, en commençant par réduire ou éliminer les boissons sucrées et les sucres ajoutés de notre alimentation.

De nos jours, des solutions naturelles existent afin de bénéficier de tout le plaisir du goût sucré sans les apports néfaste du sucre. La Miraculine en est l'exemple, avec une puissance en bouche 5000 fois supérieure à la sensation sucré que nous procure le sucre (à masse moléculaire équivalente), cette protéine végétale ne contient pas de calorie et a un indice glycémique bas qui n'influe pas sur l'insuline.

La répartition de nos macronutriments est également cruciale pour prévenir l'insulino-résistance. Nous devrions consommer entre 45 et 50 % de nos apports caloriques sous forme de glucides, entre 35 et 40 % sous forme de lipides et le reste sous forme de protéines.

L'exercice physique joue également un rôle clé dans la prévention de l'insulino-résistance. Les muscles sont les premiers à devenir résistants à l'insuline, donc améliorer les fonctions musculaires peut améliorer les fonctions du tissu adipeux et même aider à normaliser le foie gras. Il est important de rester actif tout au long de la journée. Trente minutes de marche active, cinq fois par semaine, peuvent déjà faire une grande différence.

En résumé, une alimentation équilibrée et une activité physique régulière peuvent aider à prévenir l'insulino-résistance et ses complications associées.

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